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l'Actualité en Algérie

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1l'Actualité en Algérie  Empty l'Actualité en Algérie Mer 13 Oct - 19:41

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KIDNAPPINGS À TIZI-OUZOU
Les autorités interpellées

Alors que la wilaya de Tizi-Ouzou vient d’atteindre, avec le commerçant enlevé il y a quelques jours à Béni- Douala, le nombre de 57 kidnappings suivis de demandes de rançon, les autorités observent un silence qui en dit long sur leur incapacité ou leur absence de volonté de venir à bout de ce phénomène qui tend à devenir une activité banale et fort lucrative pour les auteurs de ces actes, impactant négativement sur l’économie de la wilaya dont le bassin de l’emploi ne veut pas connaître un réel décollage.
C’est l’inquiétude exprimée dans une interpellation écrite du Dr Boudarène, député RCD de la wilaya de Tizi-Ouzou, adressée au tout nouveau ministre de l’Intérieur, et dont une copie nous a été remise. Comme son prédécesseur, Yazid Zerhouni, qui a été interpellé dans quasiment les mêmes termes sur la persistance de ce phénomène par le même parlementaire, Ould Kablia n’a pas encore donné sa réponse. «Votre prédécesseur a déjà été rendu destinataire, en date du 27 avril 2007, d’un courrier où il lui a exposé avec clarté la grave situation (…), à ce jour, je n’ai pas reçu de réponse. Une attitude contraire aux dispositions de l’article 134 de la Constitution et de l’article 72 de la loi organique n°02-99 fixant l’organisation de l’APN et du Conseil de la nation», se désole le député qui interpelle le ministre de l’Intérieur sur ce qu’il envisage de faire pour venir à bout de ce phénomène et quelles sont les dispositions prises pour venir en aide aux victimes de ces enlèvements. D’autant plus, prévient le député, si la situation reste en l’état, «les citoyens peuvent être amenés à prendre en charge leur propre sécurité, ce qui constituera un réel danger pour l’ordre social et institutionnel ».

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2l'Actualité en Algérie  Empty Re: l'Actualité en Algérie Mer 20 Oct - 17:14

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ALGÉRIE-FRANCE
La énième lune de miel ?

Les relations entre l’Algérie et la France sont-elles aussi bonnes que le laissent entendre Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie ? Peu probable. Dans la réalité, de nombreux dossiers restent encore en suspens.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Lundi, le président Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie, la ministre française la Justice, ont présenté une image idyllique des relations algéro-françaises. «Les relations sont très étroites, un peu comme dans un couple, un couple qui se connaît depuis longtemps (…) ce couple a toujours l'occasion de se réconcilier et de se retrouver de façon plus étroite», a déclaré, à cette occasion, la garde des Sceaux. «Les relations algéro-françaises se portent bien», renchérit Bouteflika, avec un large sourire. Mais ces propos à la «je t'aime, moi non plus», déclamés par une belle journée d’automne, ne constituent, en fait, qu’une petite parenthèse dans la crise latente qui caractérise les rapports entre les deux pays. Il faut dire que les jours qui ont précédé la visite algéroise de Michèle Alliot-Marie ont été particulièrement riches en évènements et en déclarations. Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté algérienne à l’étranger, donne le la. «Les valeurs de Novembre s’inscrivent dans la durée. Il serait vain d’espérer qu’elles s’éteindront au fil du temps. Ce sont des valeurs universelles », lance-t-il à partir de Paris, lors d’une cérémonie de commémoration du massacre du 17 Octobre 1961. La phrase est loin d’être anodine. Elle vise directement le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, en réponse à sa sentence : «La génération de l'indépendance algérienne est encore au pouvoir. Après elle, ce sera peut-être plus simple.» Le même jour, à M’sila, Mohamed Chérif Abbas, le ministre des Moudjahidine la bête noire de Kouchner remet sur la table le principe de criminalisation des actes commis durant la colonisation. Selon lui, ces crimes sont «partagés par leurs auteurs directs et l’Etat français et, par conséquent, la sanction doit toucher les individus et l’Etat dans tous les aspects se rapportant aux droits de l’homme». Dans le registre de la «mémoire», du côté français, on ne reste pas inactif. Loin s’en faut. A Paris, on prépare activement l’installation de la «Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie». Prévue par l’article 3 de la loi portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés, ou loi du 23 février 2005, cette fondation a pour objectif de «construire une mémoire commune» sur la base de «travaux historiques sérieux». Cet organe a finalement été installé hier par le secrétaire d’État français à la Défense et aux Anciens combattants. Le choix de la date — le lendemain des massacres du 17 Octobre — est, à lui seul, un message de défiance envers Alger. Les tensions entre les deux pays ne se limitent pas seulement au passé. Elles touchent surtout le présent. Le dossier sécuritaire au Sahel en est une preuve concrète. Le gouvernement français, confronté à la gestion du dossier de ses ressortissants pris en otages par les terroristes islamistes de l’Aqmi, tente d’imposer son leadership dans la sous-région. Le 13 octobre, Bamako accueille une réunion du Groupe d'action antiterroriste des pays du G8 (CTAG). Des experts des Etats-Unis, de la Russie, du Japon, du Canada, de la France, de la Grande- Bretagne, d’Italie et d'Allemagne rencontrent des représentants du Mali, du Maroc, de la Mauritanie, du Niger, du Burkina Faso, du Sénégal et du Nigeria. L’Algérie décline l’invitation. La rencontre, initiée par la France, mine les efforts consentis par les pays du Sahel visant à lutter contre le terrorisme dans le cadre d’un état-major commun. Pire, Alger voit d’un mauvais œil la présence du Maroc, pays qui n’a aucune frontière directe avec le Sahel. Donc, à la lueur de ces faits concrets, comment peut-on croire que les «relations algéro-françaises se portent bien»? A moins que la satisfaction affichée par Michèle Alliot-Marie ne cache autre chose ? La ministre de la Justice – qui, dit-on, est sur la liste des successeurs de François Fillon – a déclaré avoir évoqué «tous les domaines» avec Abdelaziz Bouteflika. Parmi ces domaines figurent la défense et l’intérieur, deux secteurs qu’elle connaît à la perfection puisqu’elle en a dirigé les départements. Une question s’impose : Alliot-Marie a-t-elle revêtu le costume de VRP pour tenter de décrocher quelques contrats ? Les frégates, les chasseurs, la modernisation des équipements militaires et le passeport biométrique pourraient constituer une dot intéressante pour lier le couple Algérie-France.

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3l'Actualité en Algérie  Empty Re: l'Actualité en Algérie Mer 20 Oct - 18:22

nahdisto

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Modérateur
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Admin a écrit: ALGÉRIE-FRANCE
La énième lune de miel ?

Les relations entre l’Algérie et la France sont-elles aussi bonnes que le laissent entendre Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie ? Peu probable. Dans la réalité, de nombreux dossiers restent encore en suspens.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Lundi, le président Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie, la ministre française la Justice, ont présenté une image idyllique des relations algéro-françaises. «Les relations sont très étroites, un peu comme dans un couple, un couple qui se connaît depuis longtemps (…) ce couple a toujours l'occasion de se réconcilier et de se retrouver de façon plus étroite», a déclaré, à cette occasion, la garde des Sceaux. «Les relations algéro-françaises se portent bien», renchérit Bouteflika, avec un large sourire. Mais ces propos à la «je t'aime, moi non plus», déclamés par une belle journée d’automne, ne constituent, en fait, qu’une petite parenthèse dans la crise latente qui caractérise les rapports entre les deux pays. Il faut dire que les jours qui ont précédé la visite algéroise de Michèle Alliot-Marie ont été particulièrement riches en évènements et en déclarations. Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté algérienne à l’étranger, donne le la. «Les valeurs de Novembre s’inscrivent dans la durée. Il serait vain d’espérer qu’elles s’éteindront au fil du temps. Ce sont des valeurs universelles », lance-t-il à partir de Paris, lors d’une cérémonie de commémoration du massacre du 17 Octobre 1961. La phrase est loin d’être anodine. Elle vise directement le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, en réponse à sa sentence : «La génération de l'indépendance algérienne est encore au pouvoir. Après elle, ce sera peut-être plus simple.» Le même jour, à M’sila, Mohamed Chérif Abbas, le ministre des Moudjahidine la bête noire de Kouchner remet sur la table le principe de criminalisation des actes commis durant la colonisation. Selon lui, ces crimes sont «partagés par leurs auteurs directs et l’Etat français et, par conséquent, la sanction doit toucher les individus et l’Etat dans tous les aspects se rapportant aux droits de l’homme». Dans le registre de la «mémoire», du côté français, on ne reste pas inactif. Loin s’en faut. A Paris, on prépare activement l’installation de la «Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie». Prévue par l’article 3 de la loi portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés, ou loi du 23 février 2005, cette fondation a pour objectif de «construire une mémoire commune» sur la base de «travaux historiques sérieux». Cet organe a finalement été installé hier par le secrétaire d’État français à la Défense et aux Anciens combattants. Le choix de la date — le lendemain des massacres du 17 Octobre — est, à lui seul, un message de défiance envers Alger. Les tensions entre les deux pays ne se limitent pas seulement au passé. Elles touchent surtout le présent. Le dossier sécuritaire au Sahel en est une preuve concrète. Le gouvernement français, confronté à la gestion du dossier de ses ressortissants pris en otages par les terroristes islamistes de l’Aqmi, tente d’imposer son leadership dans la sous-région. Le 13 octobre, Bamako accueille une réunion du Groupe d'action antiterroriste des pays du G8 (CTAG). Des experts des Etats-Unis, de la Russie, du Japon, du Canada, de la France, de la Grande- Bretagne, d’Italie et d'Allemagne rencontrent des représentants du Mali, du Maroc, de la Mauritanie, du Niger, du Burkina Faso, du Sénégal et du Nigeria. L’Algérie décline l’invitation. La rencontre, initiée par la France, mine les efforts consentis par les pays du Sahel visant à lutter contre le terrorisme dans le cadre d’un état-major commun. Pire, Alger voit d’un mauvais œil la présence du Maroc, pays qui n’a aucune frontière directe avec le Sahel. Donc, à la lueur de ces faits concrets, comment peut-on croire que les «relations algéro-françaises se portent bien»? A moins que la satisfaction affichée par Michèle Alliot-Marie ne cache autre chose ? La ministre de la Justice – qui, dit-on, est sur la liste des successeurs de François Fillon – a déclaré avoir évoqué «tous les domaines» avec Abdelaziz Bouteflika. Parmi ces domaines figurent la défense et l’intérieur, deux secteurs qu’elle connaît à la perfection puisqu’elle en a dirigé les départements. Une question s’impose : Alliot-Marie a-t-elle revêtu le costume de VRP pour tenter de décrocher quelques contrats ? Les frégates, les chasseurs, la modernisation des équipements militaires et le passeport biométrique pourraient constituer une dot intéressante pour lier le couple Algérie-France.

khamam 3la rou7ak khou zak !!! c\'est nul

4l'Actualité en Algérie  Empty Re: l'Actualité en Algérie Mer 20 Oct - 18:57

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nahdisto a écrit:
Admin a écrit: ALGÉRIE-FRANCE
La énième lune de miel ?

Les relations entre l’Algérie et la France sont-elles aussi bonnes que le laissent entendre Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie ? Peu probable. Dans la réalité, de nombreux dossiers restent encore en suspens.
Tarek Hafid - Alger (Le Soir) - Lundi, le président Abdelaziz Bouteflika et Michèle Alliot-Marie, la ministre française la Justice, ont présenté une image idyllique des relations algéro-françaises. «Les relations sont très étroites, un peu comme dans un couple, un couple qui se connaît depuis longtemps (…) ce couple a toujours l'occasion de se réconcilier et de se retrouver de façon plus étroite», a déclaré, à cette occasion, la garde des Sceaux. «Les relations algéro-françaises se portent bien», renchérit Bouteflika, avec un large sourire. Mais ces propos à la «je t'aime, moi non plus», déclamés par une belle journée d’automne, ne constituent, en fait, qu’une petite parenthèse dans la crise latente qui caractérise les rapports entre les deux pays. Il faut dire que les jours qui ont précédé la visite algéroise de Michèle Alliot-Marie ont été particulièrement riches en évènements et en déclarations. Halim Benatallah, secrétaire d’Etat chargé de la Communauté algérienne à l’étranger, donne le la. «Les valeurs de Novembre s’inscrivent dans la durée. Il serait vain d’espérer qu’elles s’éteindront au fil du temps. Ce sont des valeurs universelles », lance-t-il à partir de Paris, lors d’une cérémonie de commémoration du massacre du 17 Octobre 1961. La phrase est loin d’être anodine. Elle vise directement le ministre français des Affaires étrangères, Bernard Kouchner, en réponse à sa sentence : «La génération de l'indépendance algérienne est encore au pouvoir. Après elle, ce sera peut-être plus simple.» Le même jour, à M’sila, Mohamed Chérif Abbas, le ministre des Moudjahidine la bête noire de Kouchner remet sur la table le principe de criminalisation des actes commis durant la colonisation. Selon lui, ces crimes sont «partagés par leurs auteurs directs et l’Etat français et, par conséquent, la sanction doit toucher les individus et l’Etat dans tous les aspects se rapportant aux droits de l’homme». Dans le registre de la «mémoire», du côté français, on ne reste pas inactif. Loin s’en faut. A Paris, on prépare activement l’installation de la «Fondation pour la mémoire de la guerre d’Algérie et des combats du Maroc et de Tunisie». Prévue par l’article 3 de la loi portant reconnaissance de la nation et contribution nationale en faveur des Français rapatriés, ou loi du 23 février 2005, cette fondation a pour objectif de «construire une mémoire commune» sur la base de «travaux historiques sérieux». Cet organe a finalement été installé hier par le secrétaire d’État français à la Défense et aux Anciens combattants. Le choix de la date — le lendemain des massacres du 17 Octobre — est, à lui seul, un message de défiance envers Alger. Les tensions entre les deux pays ne se limitent pas seulement au passé. Elles touchent surtout le présent. Le dossier sécuritaire au Sahel en est une preuve concrète. Le gouvernement français, confronté à la gestion du dossier de ses ressortissants pris en otages par les terroristes islamistes de l’Aqmi, tente d’imposer son leadership dans la sous-région. Le 13 octobre, Bamako accueille une réunion du Groupe d'action antiterroriste des pays du G8 (CTAG). Des experts des Etats-Unis, de la Russie, du Japon, du Canada, de la France, de la Grande- Bretagne, d’Italie et d'Allemagne rencontrent des représentants du Mali, du Maroc, de la Mauritanie, du Niger, du Burkina Faso, du Sénégal et du Nigeria. L’Algérie décline l’invitation. La rencontre, initiée par la France, mine les efforts consentis par les pays du Sahel visant à lutter contre le terrorisme dans le cadre d’un état-major commun. Pire, Alger voit d’un mauvais œil la présence du Maroc, pays qui n’a aucune frontière directe avec le Sahel. Donc, à la lueur de ces faits concrets, comment peut-on croire que les «relations algéro-françaises se portent bien»? A moins que la satisfaction affichée par Michèle Alliot-Marie ne cache autre chose ? La ministre de la Justice – qui, dit-on, est sur la liste des successeurs de François Fillon – a déclaré avoir évoqué «tous les domaines» avec Abdelaziz Bouteflika. Parmi ces domaines figurent la défense et l’intérieur, deux secteurs qu’elle connaît à la perfection puisqu’elle en a dirigé les départements. Une question s’impose : Alliot-Marie a-t-elle revêtu le costume de VRP pour tenter de décrocher quelques contrats ? Les frégates, les chasseurs, la modernisation des équipements militaires et le passeport biométrique pourraient constituer une dot intéressante pour lier le couple Algérie-France.

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MASCARA
Une collision entre un camion et un taxi fait 6 morts

Un terrible accident de la circulation s’est produit hier matin vers 9h30 sur la RN14 au lieudit El-Malay, dans la wilaya de Mascara.
Un camion aurait d’abord percuté un arbre, avant d’entrer en collision avec un véhicule taxi type Logan, dont les passagers sont morts sur le coup. On déplore le décès de deux hommes, dont le chauffeur, trois femmes et un garçon de dix ans. M. Meddeber

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6l'Actualité en Algérie  Empty Re: l'Actualité en Algérie Dim 24 Oct - 17:47

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AUTOROUTE EST-OUEST
Les 70 km qui posent problème

Sur les 1 720 km de l’autoroute Est-Ouest, 1 500 km sont déjà livrés à la circulation. Cependant, sur les 200 km en cours de réalisation, 70 km rencontrent des difficultés techniques. C’est ce qu’a indiqué le ministre des Travaux publics, Amar Ghoul.
Salima Akkouche - Alger (Le Soir) - Si la réalisation de la partie ouest de l’autoroute Est-Ouest s’est déroulée sans difficulté, pour le tronçon Est, visiblement, des problèmes sont rencontrés. Le ministre des Travaux publics, toujours satisfait de la cadence des travaux, a souligné que sur les 1 720 km de l’autoroute Est- Ouest, 1 500 km sont déjà livrés. Il ne reste donc que 200 km devant relier Constantine et El-Tarf à réaliser, avant la livraison totale du projet. Or, il semblerait que ce soit la partie la plus délicate. En effet, le premier responsable du secteur a reconnu que la réalisation de ce tronçon enregistre des retards. Il s’agit notamment d’un tronçon de 70 km dont la réalisation semble critique à cause de «problèmes techniques », explique-t-on. Cette partie comprend des tunnels et des ouvrages d’art devant être réalisés au niveau de Djebel El-Ouehch, entre Constantine et El-Tarf. Une zone inondable et connue pour d’importants glissements de terrain, notamment du côté de Guelma, révèle le ministre. Cependant, le premier responsable du secteur reste serein. «Ce petit contretemps» n’aura pas, selon lui, de conséquence sur la livraison dans les délais de la totalité du projet. «La totalité de l’autoroute sera livrée à la circulation dans les délais fixés», ne cessait de répéter Amar Ghoul. Rappelons que l’autoroute sera équipée de 42 aires de services et 76 aires de repos. Ce chantier comprend également la mise en place de 55 postes de péage, 12 centres d’entretien chargés de la gestion et de la maintenance de l’autoroute Est-Ouest et, enfin, l’implantation de 22 postes de la Gendarmerie nationale et autant d’unités de la Protection civile.

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7l'Actualité en Algérie  Empty Re: l'Actualité en Algérie Dim 21 Nov - 15:22

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JOURNÉE MONDIALE DES DROITS DE L’ENFANT
L’Algérie a encore du chemin à parcourir

La situation des enfants en Algérie reste préoccupante. Les chiffres des différentes institutions nationales évoquent des cas de maltraitance et d’exploitation. L’école algérienne traîne aussi son lot de problèmes. Les défis sont énormes. Faut-il être alarmiste pour faire bouger nos responsables ?

Irane Belkhedim - Alger (Le Soir) -Ce sont les sujets qui ont été évoqués hier lors de la journée d’étude organisée par la Forem (Fondation nationale pour la recherche médicale) à Dar El Imam, qui coïncide avec la Journée mondiale des droits de l’enfant. Les experts qui ont pris la parole ont soulevé les nombreuses difficultés que rencontrent les enfants scolarisés. Dyslexie, déperdition scolaire, erreurs des parents et des enseignants, et le climat pédagogique en classe sont les points essentiels qui ont été brièvement abordés. Le chahut des petits invités à cette rencontre, et le manque de temps ont fait que les spécialistes n’ont pas pu s’étaler sur le sujet. «Il ne suffit pas de clamer le palmarès des écoles, de comparer les établissements et de les classer. L’Ecole algérienne est une boîte noire et l’on ignore ce qui se passe à l’intérieur», a estimé la pédagogue Aziza Chabani, qui s’interroge sur les attentes actuelles du système éducatif. Un point important qui, cependant, ne suscite pas l’intérêt. «Il faut assurer un climat pédagogique sain à nos élèves. A l’école, l’enfant doit retrouver la justice, la parité, la sécurité, le respect et l’accompagnement psychopédagogique », a-t-elle ajouté, en insistant sur l’importance des relations élèves/éducateurs. «Le regard que porte l’enseignant sur un élève peut construire ou détruire ce dernier. Les relations sociales dans les établissements scolaires se répercutent sur tout le monde ; elles sécurisent, encouragent et aident au développement de la personnalité ». Mme Aziza Chabani a soutenu qu’en ce moment, l’Ecole algérienne est incapable d’assurer «un enseignement de qualité».

L’orthophoniste Saliha Ghelab a fait part de cas d’élèves qui ont des troubles de lecture et qui ne sont pas suivis ni soutenus par les parents, les enseignants et leurs camarades. «Dans une rédaction libre, l’un des enfants a écrit : je suis un cancre. En plus, avec une faute d’orthographe. C’est l’image que lui renvoie son enseignant. Sa prise en charge n’a pas été facile», a affirmé l’orthophoniste.

Les chiffres officiels

Selon le professeur Khiati, le président de la Forem, les agressions commises sur les enfants deviennent un véritable fléau. «En 2010, 10 000 enfants ont subi différentes agressions, dont 2 000 agressions sexuelles. Ce sont les cas relevés par les services de police, de la Gendarmerie nationale et les hôpitaux. Si l’on compte les cas non déclarés, le chiffre atteindrait les 50 000», a-t-il indiqué. Au premier semestre 2010, la DGSN a recensé 2 725 cas d’enfants maltraités. 6 d’entre eux sont morts et 10 ont été victimes d’infanticide. Parmi ces cas, il y a 1 523 actes de violence, 249 cas de mauvais traitement, 105 cas de détournement de mineur et 832 cas de violences sexuelles. Parmi ces abus, on a enregistré 64 viols et 560 sodomies, 13 incestes, 181 cas d’attentat à la pudeur et 15 cas de pornographie. Le suicide touche également les enfants. Au premier trimestre 2010, la police a recensé 121 tentatives de suicide ; deux cas se sont soldés par un décès.

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